BIENVENUE A TOUS ET TOUTES










Bienvenue dans le blog du Syndicat d entreprise CGT WOLSELEY qui regroupe les enseignes suivante:
PBM
LES CHARPENTES FRANCAISE


LE PORT DES TROIS BOIS
Wolseley France c'est un CA de 2,8 milliards d'euros, 10 000 salariés et 800 points de vente.
Il nous a apparu necessaire d avoir une communication aupres des salaries du groupe
en creant ce blog
et une autre vision de l entreprise celle de vos representants Syndicaux:
Apres les multiples PSE ( plan social) qui ont decimès nos effectifs et les conditions de travail qui ne cesse de se degradèes sous le couvert de la rentabilitè d un fond de pension

Le temps de la mobilisation et des propositions d amelioration de nos conditions de travail et de renumeration est venue

Ce n est QUE TOUS ENSEMBLE que nous y arriverons!
La C.G.T est le syndicat qui défendra vos intérêts et vos revendications sans craindre la direction.les élections approchent et nous aurons besoin de votre soutien votez pour la CGT avec vous nous saurons faire avancer vos droits !!

Les seules batailles perdues d'avance sont celles que l'on ne mènent pas !


Le syndicalisme fait partie du patrimoine vivant de l’humanité et de la démocratie. Fait social devenu universel, il a d’abord émergé en Europe avec la révolution industrielle, et y est resté depuis profondément enraciné.

L’histoire plus que séculaire de la CGT s’inscrit dans cet ensemble. Née de la volonté des salariés de s’organiser collectivement et durablement pour défendre leurs intérêts face à l’oppression et à l’exploitation, pour conquérir des droits et les faire valoir, pour imaginer un monde plus juste et proposer des voies pour y parvenir, sont le coeur de son action syndicale.

Bâtie selon deux dimensions professionnelles et géographiques, la CGT s’est forgée et constituée au fil de l’histoire autour d’une conception de solidarité entre les salariés qui combine l’ancrage à l’entreprise et à son environnement territorial.























BOURCIER Pascal et son équipe

BOURCIER Pascal et son équipe
LES ELUS CGT DE l’UES Wolseley France Bois et Matériaux / PBM Développement . BOURCIER Pascal Coordinateur groupe CGT WOLSELEY ET BM et également membre élu de la commission évecutive fe la fédération C.G.T FNSCBA à Montreuil

Décisions stratégiques

Décisions stratégiques
Quelle Direction....?

ADHESION AU SYNDICAT CGT WOLSELEY

Adhérer a la cgt Woseley

Subscribe to CGT Wolseley

lundi 19 mars 2007

Comme plusieurs dizaines de milliers de salariés (es) qui l’ont fait, vous envisagez de rejoindre la CGT.
Quelles que soient vos motivations, vous exprimez ainsi la volonté de ne pas rester isolé (e), d’être acteur, actrice de votre avenir, de prendre en main vos affaires

PDF - 38.5 koBulletin d’adhésion à télécharger
La CGT vous invite à prendre votre place dans l’action et l’activité syndicale, à vous investir, à vous y épanouir, car la CGT ce n’est pas les " autres ", qu’ils soient responsables ou délégués, élus ou mandatés. La vraie force de la CGT, c’est l’action conjuguée et cohérente de ses 700 000 adhérents (es) pour améliorer la situation de toutes et tous.











ETRE SYNDIQUÉ(E) A LA CGT OUVRE DES DROITS :

Droit de participer et de décider

La CGT fait le choix de la démocratie. Elle décide de ses orientations avec les syndiqués (es).

Etre citoyen dans le syndicat est au cœur de la vie syndicale : donner son opinion, débattre et participer à la prise de décision, s’impliquer dans la vie syndicale, y exercer des responsabilités si on le souhaite.

Droit de se former

La formation syndicale est un droit pour tous les salariés et les privés d’emploi, qu’ils soient syndiqués ou non, sous réserve que la formation soit dispensée par une organisation syndicale représentative.

Chaque salarié a le droit de s’absenter 12 jours par an en formation syndicale. Toutefois le total des jours d’absence annuel dans une entreprise est limité (par exemple : 36 jours pour 50 salariés et 60 jours pour 100 salariés). La CGT revendique l’augmentation de ces droits.
Les modalités sont similaires dans les secteurs public et privé, même si elles se réfèrent à des bases législatives différentes (Code du travail pour le secteur privé, statuts pour les fonctionnaires ou les entreprises publiques).
La différence porte sur la couverture salariale de l’absence : il n’y a pas de perte de salaire dans le secteur public. Pour le privé, sauf en cas d’accord d’entreprise, la compensation est souvent très faible. La CGT revendique la prise en charge intégrale des salaires pour tous.

La CGT ambitionne la participation de tous les syndiqués à la formation syndicale dès leur adhésion.

La CGT propose plusieurs types et niveaux de formation, de caractère général ou spécifique, ouverts à tous les syndiqués, qu’ils aient ou non des responsabilités syndicales

Ces formations sont organisées, selon les cas, à différents niveaux : l’entreprise, local régional, national…
Pour en savoir plus : http://www.formationsyndicale.cgt.fr/

Droit à l’information

La CGT dispose d’une presse fédérale dont l’objectif est d’être utile à la réflexion de chacun (e) pour se forger son opinion, participer à l’échange collectif pour décider ensemble.
Ouverte sur le monde du travail, utile pour solidariser les intérêts de tous, construire les luttes qui unissent au plan local et national, européen et mondial.
L’Aplomb, les informations fédérales, La com. fédérale, La Nouvelle Vie ouvrière, hebdomadaire d’actualités, pour tous les syndiqués (es).
Options, bi-mensuel pour les ingénieurs, cadres, techniciens.
Retraite Construction et Vie Nouvelle pour les retraité(e)s.

POURQUOI UNE COTISATION SYNDICALE La cotisation syndicale versée régulièrement par le syndiqué matérialise son appartenance à la CGT et constitue un élément vital au financement de l’activité de toute la CGT, du syndicat qui mène l’action à l’entreprise jusqu’à la Confédération. Elle garantit son indépendance à l’égard du patronat et des pouvoirs publics.

De combien ?

La cotisation fixée statutairement à 1 % du salaire net est un principe d’égalité. Chaque adhérent cotise proportionnellement à ses revenus.

Pour une gestion pratique et régulière, la CGT, ses organisations pratiquent et encouragent le prélèvement automatique des cotisations syndicales.

CONTACT M BOURCIER OU M KOZIK

BOURCIER TEL 06 69 67 17 00 Pour PBM/ISB

KOZIK TEL 06 70 03 71 71 Pour ISB















COMPTEUR DE VISITE

Vos Delegues Syndicaux CGT Wolseley


WFBM
: Bourcier Pascal tel 06 69 67 17 00 DS WFBM pascal.bourcier@wolseley.fr Guidez Mickael tel 06 26 09 81 72 RS WFBM : Castel Bernard tel 06 70 80 52 37 DS WFBM : Perruche Guy tel 06 87 74 75 59 DS BM : Thiebault Thierry DS WFBM: Kozik jlouis tel 06 70 03 71 71 DS BM jeanlouis.kozik@sfr.fr : Srowoda jpaul tel 06 13 82 91 63 DS



mercredi 27 février 2013


Non à une loi qui précariserait l’emploi et les salaires et sécuriserait les licenciements
Argumentaire pour un député de gauche

Le projet d’accord conclu le 11 janvier 2013 ne peut pas être repris par le gouvernement et les députés de gauche. Cela marquerait une grave régression des droits sociaux des salariés.
Il a été détourné de son objectif. Loin de favoriser l’emploi, il facilite les licenciements et la précarité.
Les salariés ont déjà beaucoup trop donné avec la droite quant aux promesses de moins de garanties pour plus d’emplois. La baisse des droits est immédiate et réelle mais les promesses d’emploi ne sont jamais tenues.
Déjà en 86 le patronat promettait 400 000 emplois en échange de la suppression de l’autorisation par l’inspection du travail des licenciements économiques. La suppression a été effective, les emplois n’ont jamais vu le jour.
Cet accord n’est pas acceptable en l’état.
Il serait inconcevable que la majorité parlementaire et le Gouvernement, entérine dans la loi les reculs sociaux dictés par le MEDEF, comme du temps de Sarkozy.
François Hollande a été élu en promettant l’emploi et la justice. Le texte signé est injuste et sera inefficace en matière d’emploi.
·         En plus de donner des aides et des droits nouveaux injustifiés au patronat, cet accord comporte des reculs sociaux historiques, soulignés par de nombreux juristes et détaillés ci dessous.
·         Il permet aux employeurs de rendre incertain ce qui était sur pour le salarié (sa paye et son contrat) et sécurise les employeurs en rendant plus difficile ou impossible la saisie de la justice par le salarié pour faire valoir ses droits.
·         Cet accord comporte des dispositions contraires aux promesses électorales et à des textes de lois mis en place par la gauche (voir au verso).
  • Le gouvernement ne peut argumenter que ce texte serait le résultat d’un compromis entre syndicats majoritaires et patronat.
En effet, les organisations syndicales signataires sont minoritaires, les éventuels signataires (CFTC, CFE CGC, CFDT) représentent moins de salariés que les non signataires CGT et FO.
Pour mémoire,
·         Aux prud’hommes en 2008 :
Pour les non signataires CGT 34% et FO 15,81% soit 49,81%.
Pour les signataires CFDT 21,81, CFTC 8,69% et CGC 8,19% soit 38,69%
·         Le dernier résultat de décembre du vote des petites entreprises est le suivant :
Pour les non signataires CGT 29,54 % FO 15,25 % soit 44,79 %;
Pour les signataires CFDT 19,26 % ; CFTC 6,53 % ; CGC 2,32 %.soit 29,15 %.

La volonté du MEDEF, traduite dans ce texte, est de supprimer la loi pour imposer le chantage à l’emploi.
« Entre le maître et le serviteur, c'est la liberté qui opprime et la loi qui affranchit » disait Lacordaire.
La gauche n’a jamais eu besoin de l’accord du MEDEF pour légiférer dans l’histoire, sinon elle n’aurait pas fait la sécurité sociale, la retraite à 60 ans, les 35 heures.
Deux sondages de début janvier 2013 confirment qu’une majorité rejette la flexibilité du MEDEF.
56% selon BVA, 55% selon celui de CSA/les Echos, dont 69 % d’ouvriers et 69% de sympathisants du PS.
Ce texte n’a pas l’aval de la majorité des salariés,
vous devez les entendre et porter leur voix.

Les principales mesures du texte à revoir ou supprimer


1)   La  complémentaire santé pour tous 
Avec la loi Evin si l’employeur ne négociait pas le choix de la mutuelle dans l’entreprise ou dans la branche, la couverture, les salariés pouvaient refuser la mutuelle.
Les négociateurs de branche ou d’entreprise doivent pouvoir choisir leur mutuelle.

2)  Un « droit de recharge » de l’assurance chômage ? Rien n’a été conclu.
Le droit de recharge prévu va déshabiller Pierre pour habiller Paul, autrement dit prendre des droits à d’autres chômeurs. Il faut prévoir une augmentation de la cotisation des employeurs.

3)   Majoration de cotisations pour les contrats « courts »
Le bilan des 2 mesures : sur taxation des contrats courts et exonération ne peut pas être positif pour les employeurs (45 millions dans les caisses du patronat).
La taxation doit être plus forte et plus généralisée pour être plus dissuasive. Elle doit fixer des quotas maximum de contrats précaires dans l’entreprise.

3)   Accords dits de « maintien de l’emploi » ou de « compétitivité ».
Le chantage à l’emploi remplace le fouet. C’est un copier-coller des accords « compétitivité-emploi » proposés par Sarkozy
Fillon avait déjà rendu possible le fait de signer des accords inférieurs au Code ou à la convention collective. Ça inversait les règles précédentes qui voulaient que la clause la plus favorable s’applique.
Là c’est pire parce que maintenant si l’employeur fait un chantage à l’emploi et si un accord est signé dans l’entreprise, l’employeur pourra modifier le contrat individuel du salarié (modifier le lieu d’embauche, baisser le salaire et accessoires,  baisser  ou modifier les horaires, etc..).
En cas de refus du salarié celui-ci est licencié quelque soit son ancienneté.
Sur ce point là c’est un recul historique d’une ampleur encore inappréciable !
Le gouvernement Jospin a mis en place les 35 heures payées 39, de plus l’amendement « Michelin » avait été adopté. Il prévoyait qu’une entreprise qui n’appliquait pas aux 35 heures ne pouvait procéder à des licenciements économiques. Maintenant l’entreprise pourra faire 39 payées 35H en faisant le chantage à l’emploi et licencier  pour raison économique sans plan social.
Cette disposition renverse la hiérarchie des normes et nie la valeur du contrat de travail.
Elle est contraire à la sécurisation de l’emploi annoncée. Pour mémoire le PS était contre cette idée voulue par Sarkozy. "Il faut que les salariés le sachent, il n’y aura plus de code du travail, il n'y aura plus de loi qui les protégera", avait dit le porte-parole du PS, à cette annonce.
Jean-Marc Ayrault était explicite : "La négociation compétitivité-emploi, mal engagée, n'est plus à l'ordre du jour",

4)            Les employeurs peuvent ne pas respecter la loi en cas de licenciements économiques.
Les plans sociaux pourront faire l’objet d’accords dérogatoires à la loi d’ordre public social s’il y a accord majoritaire… avec les syndicats de l’entreprise.

6)         Ordre des licenciements économiques. Le patron licenciera qui il veut.
Le licenciement économique était réputé non lié à la personne et le licencié devait être choisi avec des critères objectifs : ancienneté, âge, charges de famille…
Le salarié licencié pouvait contester le non respect ou l’absence de critères vérifiés.
C’est fini l’employeur sera fondé à privilégier la compétence professionnelle, et la fixera  lui-même!
Cette disposition change la nature même du licenciement économique.

7)            Travail intermittent
Cette mesure accentue la précarité, c’est un cheval de Troie du MEDEF, elle serait appelée à être étendue.
Ces 4 dispositions doivent être supprimées de la loi.

8)            Temps partiel
Les dispositions positives pour les salariés sont contournables, les dispositions négatives sont réelles.
Ainsi le passage de la durée du contrat à 24 h pourrait  être considéré comme positif mais si le ou la salarié veut un emploi et que l’employeur lui propose une durée plus faible il lui fera signer une demande de dérogation.
Par contre le « lissage » du temps partiel sur tout ou partie de l’année est un recul sur les garanties données par les lois Aubry. Notamment l’article L3123-15 : « Lorsque, pendant une période de douze semaines consécutives ou pendant douze semaines au cours d'une période de quinze semaines, l'horaire moyen réellement accompli par un salarié a dépassé de deux heures au moins par semaine, l'horaire prévu dans son contrat, celui-ci est modifié, sous réserve d'un préavis de sept jours et sauf opposition du salarié intéressé.
L'horaire modifié est égal à l'horaire antérieurement fixé auquel est ajoutée la différence entre cet horaire et l'horaire moyen réellement accompli. » est rendu caduque ainsi que les articles L3123-25 à 29 sur les conditions restrictives d’annualisation des temps partiels.
Le lissage des temps partiels doit être retiré.

9)            Délai de prescription de rappel de salaire ramené à 3 ans.
Les salariés ne pourront obtenir des rappels de salaire, heures supplémentaires, etc.. que sur les trois dernières années au lieu de cinq auparavant.
C’est une mesure injuste qui favorise l’impunité patronale. Elle sécurise l’employeur et non le salarié. Elle ne crée aucun emploi.
Cette mesure ne doit pas figurer dans la loi.

lundi 25 février 2013


SOCLE COMMUN DE NEGOCIATION POUR QUALITE DE VIE AU TRAVAIL
ET EGALITE PROFESSIONNELLE

Les cinq organisations syndicales proposent un socle commun de négociation qui s’organise autour des points incontournables suivants :

1.    LA QUALITE DE L’ORGANISATION DU TRAVAIL
Elle passe par la qualité de la prospection, par la prise en compte du travail réel, par des critères d’évaluation collective sur la qualité du travail, par la définition de l’efficience de l’entreprise à partir de la qualité du travail.

2.    LES SALARIES DOIVENT POUVOIR PARTICIPER AU DEBAT SUR L’ORGANISATION DU TRAVAIL
Cela implique une autre qualité du dialogue social, à commencer par la prise en compte des enjeux du travail dans les décisions des directoires des entreprises (préconisations des rapports LACHMAN, LAROSE, PENICAUD), un droit d’expression des salariés sur le travail entre eux, puis avec la hiérarchie de proximité donnant une place nouvelle aux IRP notamment les CHSCT qui doivent évoluer (CHSCT de site, environnementaux).

3.    QUALITE, CONTENU, SENS ET ENVIRONNEMENT DU TRAVAIL DOIVENT ETRE PRIS EN COMPTE
Cela implique de donner un nouveau rôle et un appui différent au management de proximité permettant pour les salariés plus d’autonomie, de prises de responsabilités, d’initiatives, de créativité, un enrichissement des compétences.

Cela demande aussi d’anticiper la charge de travail (le forfait jour ne peut faire référence), la prise en compte des impacts directs et indirects de la généralisation des nouvelles technologies de l’information et de la communication. Cela demande enfin une qualité de l’environnement physique et psychique.

4.    L’ORGANISATION DU TRAVAIL QUI PERMETTE LA CONCILIATION DES TEMPS entre vie professionnelle et vie personnelle avec la prise en compte de la potentialité, des congés familiaux, de formation, les rythmes et horaires de travail, l’attention portée aux temps sociaux (transports, services).

5.    L’EGALITE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES DOIT DEVENIR EFFECTIVE,

-       En rendant plus efficace les négociations annuelles sur l’égalité ;
-       En facilitant la comparaison des déroulés de carrière quel que soit le métier pour assurer l’égalité de traitement ;
-       En mettant en place un indicateur sexué de promotion, afin de suivre son évolution tout au long de la carrière ;
-       En initiant et en accélérant des actions visant à lutter contre les stéréotypes sexués liés tant à la parentalité qu’à la mixité des métiers, dans le prolongement de l’ANI de 2004.

6.    LE TEMPS PARTIEL DOIT ETRE LIMITE ET MIEUX ENCADRE pour estomper les conséquences négatives sur la qualité de la vie au travail avec :
Le contrôle du recours au temps partiel, le droit de passage à temps plein, les rythmes et amplitudes horaires, la rémunération des heures complémentaires.

7.    DIALOGUE SOCIAL EN TERRITOIRE
Un projet de développement humain durable sur le territoire intégrant les besoins des salariés, des entreprises doit valoriser la qualité du travail (ne recommençons plus AZF).

Le dialogue social territorial doit permettre de traiter la conciliation transport/prise en charge des enfants/logement. Ce dialogue doit être tripartite (acteurs publics, entreprise, IRP).

8.    L’ATTEINTE DE CES OBJECTIFS REPOSE SUR UNE OBLIGATION DE NEGOCIER dans les branches et les entreprises en respectant la hiérarchie des normes.

-     Une aide particulière doit être mise en œuvre pour les TPE/PME.
-     Inscrire la QVT et l’égalité professionnelle dans la formation initiale et continue des managers et dirigeants.
-     Engager des expérimentations et prévoir une évaluation par un comité de suivi de l’accord national interprofessionnel, par le COCT au niveau national et par les Comités Régionaux de Prévention des Risques Professionnels au niveau territorial.

Le 11 janvier 2013

JOURNEE D’ACTION INTERPROFESSIONNELLE DU 5 MARS 2013


 


   JOURNEE D’ACTION INTERPROFESSIONNELLE DU 5 MARS 2013
   BULLETIN N°1 DE LA DYNAMIQUE DE MOBILISATION
                                                                             

Réunie le 19 février 2013, la Commission Exécutive Confédérale (CEC)  a débattu des questions d’actualité en se concentrant sur la mise en œuvre des décisions du Comité Confédéral National (CCN) des 5 et 6 février derniers.  Elle a pris en compte un certain nombre d’éléments complémentaires survenus après le CCN :

  • La sortie de l’avant-projet de loi transposant l’Accord National  Interprofessionnel du 11 janvier 2013 constitue une étape nouvelle de la campagne d’information et de mobilisation des salariés.

  • la journée nationale d’action interprofessionnelle du 5 mars 2013, à l’appel de la CGT et de FO, prend ainsi tout son sens et doit d’abord être réussie si nous voulons poursuivre la bataille dans les meilleures conditions, lors de l’étape parlementaire.

  • Dans la période, des voix se manifestent, des acteurs s’intéressent, certains se positionnent sur des aspects particuliers.

Par exemple, après l’expression du Syndicat des Avocats de France et celle de la fondation Copernic, Jean-Claude Delgenes, président du cabinet d’expertise Technologia qui a réalisé l’expertise sur la souffrance au travail à France Télécom, a écrit pour faire part à la CGT de ces inquiétudes, jugeant cet accord dangereux pour la prévention, au regard des mesures qu’il contient en matière de droit des CHSCT.

Des expressions de plus en plus nombreuses émanent du mouvement mutualiste.

Les organisations de jeunesse UNEF, UNL, FIDEL, JOC et Génération Précaires rencontrées le 12 février 2013, sont très critiques et estiment surtout que cet accord n’apporte aucune réponse au problème de l’emploi et à celui de la précarité des jeunes.

  • La CGT est informée que plusieurs organisations de la CFTC ou de la CFDT sont en désaccord avec la position de leur Confédération.

Certains commencent à s’exprimer.
Dans l’Aveyron, le syndicat CFDT de Raynal et Roquelaure, entreprise agroalimentaire, a fait remonter à sa confédération son mécontentement quant à la signature de l’accord.
Dans le Gers, des syndiqués CFDT en responsabilité dans leurs entreprises ont fait savoir leur désaccord avec la signature de leur Confédération et l’ont ouvertement critiqué auprès de leur union départementale.
Dans la Loire Atlantique, le président de la CFTC a fait part de son désaccord avec la signature de sa Confédération.
Dans le Val d’Oise, le responsable CFDT de la Métallurgie s’est exprimé publiquement contre l’accord.

La CEC encourage ainsi les organisations de la CGT à s’adresser aux militants de ces organisations au sein des entreprises, dans les territoires, dans les professions. Non pas pour les insulter, ni même pour insulter leur confédération mais pour qu’ils s’interrogent et mesurent, en tant que syndicalistes, les conséquences pour les salariés d’une application des dispositions contenues dans l’ANI du 11 janvier 2013.
Par conséquent, vous trouverez ci-joint, l’adresse aux militants des organisations signataires réalisée par l’union départementale du Val d’Oise.

La CEC demande également que les organisations de la CGT fassent parvenir ce type de réactions à la coordination des luttes (coord-luttes.actions@cgt.fr).

  • La démarche de la CGT auprès des parlementaires vise à exiger de ces élus du peuple qu’ils ne votent pas de tels reculs sociaux, mais qu’à l’inverse, ils inscrivent enfin dans la loi des dispositions qui protègent les salariés contre les licenciements et leur donnent les moyens de s’y opposer.

La CEC a précisé qu’il ne s’agissait donc pas de chercher à proposer des amendements à un texte dont la philosophie est fondamentalement destructrice pour le droit du travail et contraire aux conventions internationales.

Dans le cadre des rencontres avec les groupes parlementaires de l’Assemblée Nationale, la Confédération porte cette exigence qui a besoin maintenant d’être relayée auprès des députés, un à un, dans leurs circonscriptions.

Là encore, la CEC demande que la nature des entretiens que les organisations de la CGT sollicitent auprès des parlementaires, soit transmise à la coordination des luttes.

  • La nécessité de bien développer les deux dimensions de notre campagne, à savoir poursuivre nos efforts pour informer largement les salariés du contenu de ce projet et engager le débat sur nos revendications et propositions ; prendre les dispositions pour permettre une mobilisation d’ampleur, la plus unitaire possible, en y associant le plus d’acteurs possibles. 

Les membres de la CEC ont fait part de l’appréciation très positive des militants sur le matériel, les argumentaires et expressions de la Confédération en confirmant que le « 4 pages » est très largement apprécié et diffusé.

Dans le même temps, ils ont aussi souligné la nécessité de bien lier l’enjeu de cette loi avec l’actualité sociale de chaque entreprise. Evidemment dans les entreprises où d’importantes luttes pour la défense de l’emploi sont engagées, mais aussi dans les autres.

En effet, l’avant-projet de loi projet porte sur tous les aspects du contrat de travail comme la mobilité, les salaires, le temps de travail, les conditions de travail, la protection sociales. Autant de sujets concrets pour les salariés qui alimentent aussi l’action syndicale quotidienne, sur les lieux de travail.

La CEC a donc estimé que nous devons ancrer notre bataille nationale interprofessionnelle au cœur de chaque entreprise. D’où l’importance de décliner les appels et préavis nationaux au plus près du terrain en les enrichissant des revendications qui prennent à contre-pied la logique de l’accord du 11 janvier 2013 et de l’avant-projet de loi.
  
ETAT DE LA MOBILISATION

Au niveau des Unions Départementales

Au 21 février 2013, 43 Unions Départementales ont retourné à la coordination des luttes (coord-luttes.actions@cgt.fr), le tableau type ci-joint.

En Ile-de-France, une manifestation se déroulera à Paris à 14h00 de la place du Chatelet en direction de l’Assemblée Nationale.

En province, 62 manifestations et/ou rassemblements sont maintenant connus.
Ces manifestations et/ou rassemblement sont très majoritairement organisés à l’appel de CGT, FO, FSU, SOLIDAIRES.
L’UNEF appelle dans les Bouches du Rhône, la Charente Maritime, la Gironde, la Loire Atlantique, la Meurthe et Moselle, le Puy de Dôme.
L’UNL appelle dans la Charente Maritime, le Gers.

Au niveau des fédérations

Au 21 février 2013, 14 fédérations, l’Union Générale des Fédérations de Fonctionnaires (UGFF) et le Comité National des Privés d’Emploi ont retourné à la coordination des luttes, les éléments de la préparation de la journée d’action du 5 mars 2013.

Au niveau des fédérations du Commerce, des Organismes Sociaux et des Transports, un appel commun CGT et FO est concrétisé invitant les salariés à se mobiliser massivement le 5 mars 2013 en faisant grève et en participant aux manifestations organisées sur les territoires.

Les fédérations de la Chimie, de la Construction, Bois et Ameublement, de la FERC, de la FILPAC, de la Métallurgie, des Mines et Energie, de la Santé et Action Sociale, des Services Publics, du Spectacle, des Travailleurs de l’Etat et du Verre et Céramique, l’UGFF et le Comité National des Privés d’Emploi appellent à agir massivement le 5 mars 2013 par la grève et en participant aux manifestations.



Des appels à la grève sont décidés

Des préavis de grève sont déposés dans les Industries Electrique et Gazière, dans le groupe AREVA, au niveau de la FERC, dans les Services Publics et dans la Fonction Publique.

Dans l’Aveyron, des arrêts de travail sont décidés dans les entreprises de la Métallurgie.

Dans les Bouches du Rhône, les arrêts de travail sont en débat à la SPIE, dans les Télécommunications, à la Régie de Transport de Marseille, dans les Hôpitaux, à la Poste, à la CARSAT et à AREVA Aix en Provence.

Dans la Garonne, les arrêts de travail sont décidés dans la Santé, dans les Organismes Sociaux et chez les territoriaux de Toulouse.

Dans la Loire Atlantique, des arrêts de travail sont décidés à l’APAVE, à la DCNS et chez les Cheminots.

Dans le Rhône, des arrêts de travail sont décidés dans la Chimie (CTRL/Solvay à Saint-Fons, Bluestar Silicones à Saint-Fons), dans le Commerce (Carrefour Part Dieu, participation à la manif, FNAC Part Dieu), dans la Métallurgie (JTEKT Irigny), dans l’Energie (Syndicat Lyonnais de l’énergie), dans les Organismes Sociaux (MSA Ain-Rhône) et dans la Santé et Action Sociale (ADAPEI Rhône, Institut Maria Dubost, Hôpital Vinatier Bron, Hospices Civils de Lyon, Centre Hospitalier d’Albigny, Hôpital de Villefranche, Infirmerie Protestante, OVE du Rhône, et SLEA).

Des initiatives revendicatives à caractère public sont organisées pour alimenter la préparation de la journée d’action du 5 mars 2013.

Dans les Bouches du Rhône, dans le cadre d’une conférence de presse, les organisations syndicales départementales CGT, FO, FSU, SOLIDAIRES et UNEF auront un regard croisé sur l’ANI, le 26 février 2013 au Conseil des Prud’hommes de Marseille, avec le syndicat des Avocats de France et celui de la Magistrature.

Dans la Garonne, des réunions publiques d’information sont organisées en s’appuyant sur le diaporama et sur les documents analyse et critiques de la CGT.

Dans la Gironde, un débat public a été organisé le 21 février 2013 à Bègles par les organisations syndicales départementales CGT, FSU, SOLIDAIRES et UNEF.

Dans la Loire, des débats publics ont été organisés à Firminy, à Saint-Etienne et à Roanne.



Dans le Nord, une opération escargot initiée par les Unions Locales de Valenciennes, Onnaing, Denain et Saint-Amand, s’est déroulée le 14 février 2013. 50 participants dans 15 véhicules se sont rendus en cortège de Valenciennes à Denain pour y interpeler la Députée PS. Celle-ci s’est engagée à ne pas valider le texte en l’état et fera des propositions d’amendements.

Dans la Seine-et-Marne, une journée d'action départementale avec une manifestation du MEDEF au Conseil Général, a été organisée le 21 février 2013 avec la FSU et Solidaires, sur l'emploi, les salaires et la protection sociale. Cette action a également porté le rejet de l'ANI du 11 janvier 2013.


Montreuil, le 22 février 2013

vendredi 22 février 2013






                                                                                                             
  






LA CGT WOLSELEY FRANCE.
                                                
LA CGT SAVARE

 LA CGT CHARPENTES FRANCAISES                                                          
                                                  
COLLEGUES,

La CGT Wolseley France vous interpelle sur L'ANI du 11 janvier 2013, accord signé par les Syndicats CFDT, CFTC et CGC/CFE et le Medef. Accord qui nous fera régresser,  perdre des avantages que les salariés ont acquis avec des luttes de plusieurs années.

La situation de l'emploi traverse une phase critique. Les suppressions d'emploi, les dégraissages sont dévastatrices et engendre des douleurs souvent invisibles dans notre groupe.

L'emploi, c'est cela qui permet aux travailleurs et à leurs familles de VIVRE, voir de SURVIVRE.

Alors quand il est proposé à l'employeur de modifier le salaire et la durée du travail en échange du maintien du travail ; Quels salariés ont les moyens de faire face à une diminution de leur salaire ?  Situation douloureuse qui va être imposé à PBM IMPORT.

Alors quand les licenciements économiques collectifs seront plus faciles et rapides pour l'employeur, sans à rechercher un reclassement; Impossible de le contester au Prud'homme.  Plus de 40 sites Réseau pro sont dans des situations alarmantes. Mais qui est responsable, les salariés ou l'employeur d'avoir laissé une situation en latence, alarmante?

Alors que le critère prioritaire retenu pour les licenciements économiques seront les compétences professionnelles et non plus en priorité la charge de famille et l'ancienneté ; D'où l'importance des entretiens individuels. Mais sont ils objectifs, mesurables, à 100 % fiable ? L'employeur fera partir les plus démunis, ceux qui ont le moins de chance de retrouver du travail !

Alors quand les salariés, contraints à une mobilité géographique plus lointaine. S'il refuse, ce n'est plus un licenciement économique mais un licenciement pour un motif personnel (57 % du brut contre 80%!!), donc moins protecteur. Mais la plupart d'entre nous ne sommes pas mobiles à des distances importantes : nous avons des crédits, un loyer, des obligations familiales, le coût du carburant…..

Alors que les ruptures conventionnelles explosent dans notre groupe. Le rapport du centre de recherche de l'emploi démontre que sur un échantillon de 101 ruptures conventionnelles, 75 personnes sont inscrites 6 mois après au pôle emploi !! Elles sont utilisées pour la plupart à la place du licenciement économique, parce que ce dernier est plus coûteux pour l'employeur !

Alors que les délais pour agir en justice sont raccourcis de 5 ans à 2ans, 3 ans au lieu de 5 pour le salaire. Mais en quoi les délais de prescription influent ils sur la compétitivité des entreprises ?

Alors que la conciliation Prud’homale est détournée et que l'employeur donne des contreparties en trompe l'oeil pour les salariés, pour réduire un maximum les indemnisations, inférieures à leurs droits.

Croyez vous que c'est sécuriser l'emploi à choisir entre la peste ou le choléra ?
Alors mobilisez-vous pour montrer que vous n'êtes pas dupes.

Le Mardi 5 Mars, MOBILISATION.

VOS DROITS SONT ENTRE VOS MAINS
.
CONTACTER, REJOIGNER LA CGT.  BATTEZ-VOUS !
Coordonnées de vos correspondants WOLSELEY :

PBM IMPORT :

-Jean Louis.KOSIK,06/70/03/71/71.Jeanlouis.kozik@sfr.fr

CHARPENTES FRANCAISES :

-Clotaire.OMBY.06/20/08/18/86,ombby.clotaire@charpentes-francaises.fr

-Jeremy.RIZET.06/23/21/16/29,rizet.jeremy@charpentes-francaises.fr


WOLSELEY bois et matériaux /PBM développement


-Pascal BOURCIER, 06/68/04/20/65, bourcierpascal@sfr.fr
-Nolwenn PELTIER, 06/68/59/42/82, nolwenn.peltier@wolseley.fr
-Guy PERRUCHE, 06/87/74/75/59, guycedafi@laposte.net
-Thierry THIEBAULT, 06/68/61/25/56, thiebault.thierry@wanadoo.fr
-Mohammed KASSIMI, 06/68/53/88/14, mohakassemi@orange.fr
-Bernard CASTEL, 06/70/80/52/37, ba.castel@free.fr
-Michael GUIDEZ, 06/68/56/53/04, michaelchti@hotmail.fr
-Alain LE COQ, 06/67/06/55/90, alain.lecoq@orange.fr


mercredi 6 février 2013


Le Groupe Wolseley annonce des changements  dans ses équipes de Direction en Europe Continentale
5 février 2013


Afin d’accorder une plus grande attention et nous concentrer sur les performances des activités du Groupe en Europe Continentale où les conditions de marché sont particulièrement difficiles, j’annonce aujourd’hui les changements suivants dans les équipes de Direction avec prise d’effet immédiate :
Ole Mikael Jensen, Directeur Général pour la Scandinavie et l’Europe Centrale, a fait un travail remarquable d’amélioration de la performance financière de l’Europe Centrale grâce à un recentrage sur  les activités les mieux positionnées sur leur marché. Avec l’arrivée de Patrick Headon au poste de Directeur Général Europe Centrale, je demande maintenant à Ole de concentrer ses efforts au développement des activités scandinaves. Les marchés danois, suédois, norvégiens et finlandais sont de taille  importante et avec des potentiels mais ils sont très fragmentés. Ils représentent une opportunité d’investissement intéressante pour Wolseley à long terme. Au cours des neuf derniers mois nous avons du nous battre pour affronter des conditions de marché difficiles en Scandinavie. Ole et ses équipes ont fait un très bon travail pour préserver les marges et réduire les coûts opérationnels et je souhaite qu’ils continuent à se concentrer sur ces sujets. Ole continuera à me rapporter directement et reste membre du Comité Exécutif du Groupe Wolseley.
Philippe Gardies, Directeur Général de Wolseley France prendra directement en charge la responsabilité opérationnelle de la Division Bois et Matériaux en France (et donc notamment  les enseignes Réseau Pro et Panofrance). Par conséquent, Thierry Bergerault, actuel Directeur Général de la Division BM, quittera le Groupe afin de se consacrer à de nouvelles opportunités professionnelles. Je tiens à remercier Thierry de son implication et de son travail tout au long de son parcours dans notre Groupe et particulièrement pour ses efforts au cours des dernières années dans des conditions de marché très dégradées. J’attends désormais de Philippe qu’il se concentre à 100% sur les moyens d’améliorer les performances de la Division BM compte-tenu de la taille de cette dernière et de la difficulté de l’environnement économique français. L’activité ISB pouvant fonctionner de manière autonome, Pierre Gautron Directeur Général d’ISB rapportera désormais directement à Patrick Headon. Philippe continuera à me rapporter et reste membre du Comité Exécutif du Groupe Wolseley.
Enfin, la revue stratégique que nous menons actuellement en France se poursuit et sera terminée fin mars. Nous annoncerons alors nos projets à long terme pour les activités françaises. Merci de vous joindre à moi pour remercier toutes nos équipes dirigeantes et leurs collaborateurs pour leur travail acharné et leur dévouement alors qu’ils continuent à lutter pour améliorer la performance dans des environnements de marché très difficiles et en baisse.
Ian Meakins Group Chief Executive

dimanche 3 février 2013


Plan de lutte contre la pauvreté

Les contradictions gouvernementales

Comment dégager des milliards de fonds publics pour sauver les banques, pour injecter dans les entreprises sous prétexte de « favoriser l’emploi », saluer un accord qui précarise encore plus l’emploi et porte en germe un durcissement des conditions d’accès à l’assurance chômage, rechercher à réduire la dépense publique et les moyens des services publics et dans le même temps afficher l’objectif de lutter contre les situations de pauvreté et d’exclusion sociale et professionnelle ?
Les limites du plan intitulé « lutte contre la pauvreté et pour l’inclusion sociale » présenté par le Premier Ministre sont contenues dans l’orientation même des politiques gouvernementales de réduction des dépenses publiques et de réponses aux revendications patronales.
La CGT apprécie la volonté affichée d’agir contre la pauvreté qui frappe de plus en plus de jeunes, de salariés, de privés d’emploi et de retraités ainsi qu’un discours à l’opposé des stigmatisations antérieures. Elle se félicite que des mesures soient enfin prises pour scolariser les enfants de moins de 3 ans, pour étendre la couverture maladie universelle complémentaire ainsi que l’accès aux tarifs sociaux pour le gaz et l’énergie, pour augmenter le nombre de places d’hébergement d’urgence, pour permettre l’effectivité des droits existants (RSA activité notamment).
La CGT note avec satisfaction que certaines de ses propositions avancées lors de la Conférence ont été prises en compte notamment la reconnaissance du droit à l’accès à l’emploi pour tous, l’intégration des questions d’insertion et de pauvreté dans les négociations, l’articulation entre accompagnement social et professionnel, l’inclusion de clauses sociales dans les marchés publics ainsi que la nécessité, au niveau européen, de reconnaître la spécificité des services publics d’intérêt général et de garantir les subventions consacrées à l’aide alimentaire.
Cependant, la CGT déplore qu’aucune mesure ne soit consacrée aux retraités alors que toutes les études confirment l’extension de la pauvreté parmi eux. Le COR (conseil d’orientation des retraites) vient de confirmer que les réformes successives des retraites participaient à l’accroissement du nombre de pauvres parmi les retraités.
Elle relève qu’un nombre important de dispositions annoncées sont de fait conditionnées à la consultation de « groupes de travail » ou « commission » retardant de fait leur mise en œuvre. De plus, leur composition manque de transparence ; les organisations syndicales en seraient à priori exclues.
Faute de vouloir engager les moyens financiers à la hauteur exigée par ce fléau de la pauvreté, le plan présenté par le Gouvernement risque ni de répondre aux urgences sociales, ni de permettre la réalisation des objectifs affichés (droit à la santé, au logement, à la culture, etc….) ni de prévenir les processus d’exclusion. L’accord signé le 11 janvier avec les organisations patronales, les récentes déclarations du Président de la Cour des Comptes sur le régime d’assurance chômage ne participent pas non plus d’une volonté partagée de s’attaquer aux causes de la pauvreté et de l’exclusion.
La CGT est également désagréablement surprise de l’absence de création d’une véritable « allocation d’autonomie jeunes » alors que les jeunes comptent parmi les catégories les plus touchées par la pauvreté. L’expérimentation d’un CIVIS revisité dans plusieurs départements est très loin d’assurer un revenu minimum d’existence, tel que préconisé par la Confédération Européenne des Syndicats.
La CGT entend intensifier ses initiatives pour que des moyens financiers et humains soient dégagés afin d’engager des politiques publiques ambitieuses et efficaces dans la lutte contre la pauvreté et l’exclusion. Elle engage, dans un même mouvement, une mobilisation pour contrer les aspects dangereux de l’accord signé le 11 janvier dont ceux précarisant encore plus l’emploi.
Pour la CGT, il est urgent de « changer de braquet », de s’orienter résolument vers une autre répartition des richesses créées, de cesser les politiques d’austérité et de répondre aux seuls vœux du patronat.
Ces conditions sont indispensables pour gagner une sécurité sociale santé et professionnelle, le droit au travail pour toutes et tous.

Welcome everyone on the blog of french union CGT Wolseley

After the multiple PES (social) that have decimated our workforce and working conditions that continues to deteriorate under the cover of the profitability of a pension fund
The time for mobilization and proposals for improvement of our working conditions and renumeration is coming!

No this is that all together we will get there!


The CGT trade union that will defend your interests and grievances without fear direction.les elections are approaching and we need your support vote for the CGT with you we will forward your rights!

It as become necessary to have a communication to employees of the group

by creating this blog

and another vision of the company WOLSELEY that your represantatives !!!








Archives du blog