BIENVENUE A TOUS ET TOUTES










Bienvenue dans le blog du Syndicat d entreprise CGT WOLSELEY qui regroupe les enseignes suivante:
PBM
LES CHARPENTES FRANCAISE


LE PORT DES TROIS BOIS
Wolseley France c'est un CA de 2,8 milliards d'euros, 10 000 salariés et 800 points de vente.
Il nous a apparu necessaire d avoir une communication aupres des salaries du groupe
en creant ce blog
et une autre vision de l entreprise celle de vos representants Syndicaux:
Apres les multiples PSE ( plan social) qui ont decimès nos effectifs et les conditions de travail qui ne cesse de se degradèes sous le couvert de la rentabilitè d un fond de pension

Le temps de la mobilisation et des propositions d amelioration de nos conditions de travail et de renumeration est venue

Ce n est QUE TOUS ENSEMBLE que nous y arriverons!
La C.G.T est le syndicat qui défendra vos intérêts et vos revendications sans craindre la direction.les élections approchent et nous aurons besoin de votre soutien votez pour la CGT avec vous nous saurons faire avancer vos droits !!

Les seules batailles perdues d'avance sont celles que l'on ne mènent pas !


Le syndicalisme fait partie du patrimoine vivant de l’humanité et de la démocratie. Fait social devenu universel, il a d’abord émergé en Europe avec la révolution industrielle, et y est resté depuis profondément enraciné.

L’histoire plus que séculaire de la CGT s’inscrit dans cet ensemble. Née de la volonté des salariés de s’organiser collectivement et durablement pour défendre leurs intérêts face à l’oppression et à l’exploitation, pour conquérir des droits et les faire valoir, pour imaginer un monde plus juste et proposer des voies pour y parvenir, sont le coeur de son action syndicale.

Bâtie selon deux dimensions professionnelles et géographiques, la CGT s’est forgée et constituée au fil de l’histoire autour d’une conception de solidarité entre les salariés qui combine l’ancrage à l’entreprise et à son environnement territorial.























BOURCIER Pascal et son équipe

BOURCIER Pascal et son équipe
LES ELUS CGT DE l’UES Wolseley France Bois et Matériaux / PBM Développement . BOURCIER Pascal Coordinateur groupe CGT WOLSELEY ET BM et également membre élu de la commission évecutive fe la fédération C.G.T FNSCBA à Montreuil

Décisions stratégiques

Décisions stratégiques
Quelle Direction....?

ADHESION AU SYNDICAT CGT WOLSELEY

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lundi 19 mars 2007

Comme plusieurs dizaines de milliers de salariés (es) qui l’ont fait, vous envisagez de rejoindre la CGT.
Quelles que soient vos motivations, vous exprimez ainsi la volonté de ne pas rester isolé (e), d’être acteur, actrice de votre avenir, de prendre en main vos affaires

PDF - 38.5 koBulletin d’adhésion à télécharger
La CGT vous invite à prendre votre place dans l’action et l’activité syndicale, à vous investir, à vous y épanouir, car la CGT ce n’est pas les " autres ", qu’ils soient responsables ou délégués, élus ou mandatés. La vraie force de la CGT, c’est l’action conjuguée et cohérente de ses 700 000 adhérents (es) pour améliorer la situation de toutes et tous.











ETRE SYNDIQUÉ(E) A LA CGT OUVRE DES DROITS :

Droit de participer et de décider

La CGT fait le choix de la démocratie. Elle décide de ses orientations avec les syndiqués (es).

Etre citoyen dans le syndicat est au cœur de la vie syndicale : donner son opinion, débattre et participer à la prise de décision, s’impliquer dans la vie syndicale, y exercer des responsabilités si on le souhaite.

Droit de se former

La formation syndicale est un droit pour tous les salariés et les privés d’emploi, qu’ils soient syndiqués ou non, sous réserve que la formation soit dispensée par une organisation syndicale représentative.

Chaque salarié a le droit de s’absenter 12 jours par an en formation syndicale. Toutefois le total des jours d’absence annuel dans une entreprise est limité (par exemple : 36 jours pour 50 salariés et 60 jours pour 100 salariés). La CGT revendique l’augmentation de ces droits.
Les modalités sont similaires dans les secteurs public et privé, même si elles se réfèrent à des bases législatives différentes (Code du travail pour le secteur privé, statuts pour les fonctionnaires ou les entreprises publiques).
La différence porte sur la couverture salariale de l’absence : il n’y a pas de perte de salaire dans le secteur public. Pour le privé, sauf en cas d’accord d’entreprise, la compensation est souvent très faible. La CGT revendique la prise en charge intégrale des salaires pour tous.

La CGT ambitionne la participation de tous les syndiqués à la formation syndicale dès leur adhésion.

La CGT propose plusieurs types et niveaux de formation, de caractère général ou spécifique, ouverts à tous les syndiqués, qu’ils aient ou non des responsabilités syndicales

Ces formations sont organisées, selon les cas, à différents niveaux : l’entreprise, local régional, national…
Pour en savoir plus : http://www.formationsyndicale.cgt.fr/

Droit à l’information

La CGT dispose d’une presse fédérale dont l’objectif est d’être utile à la réflexion de chacun (e) pour se forger son opinion, participer à l’échange collectif pour décider ensemble.
Ouverte sur le monde du travail, utile pour solidariser les intérêts de tous, construire les luttes qui unissent au plan local et national, européen et mondial.
L’Aplomb, les informations fédérales, La com. fédérale, La Nouvelle Vie ouvrière, hebdomadaire d’actualités, pour tous les syndiqués (es).
Options, bi-mensuel pour les ingénieurs, cadres, techniciens.
Retraite Construction et Vie Nouvelle pour les retraité(e)s.

POURQUOI UNE COTISATION SYNDICALE La cotisation syndicale versée régulièrement par le syndiqué matérialise son appartenance à la CGT et constitue un élément vital au financement de l’activité de toute la CGT, du syndicat qui mène l’action à l’entreprise jusqu’à la Confédération. Elle garantit son indépendance à l’égard du patronat et des pouvoirs publics.

De combien ?

La cotisation fixée statutairement à 1 % du salaire net est un principe d’égalité. Chaque adhérent cotise proportionnellement à ses revenus.

Pour une gestion pratique et régulière, la CGT, ses organisations pratiquent et encouragent le prélèvement automatique des cotisations syndicales.

CONTACT M BOURCIER OU M KOZIK

BOURCIER TEL 06 69 67 17 00 Pour PBM/ISB

KOZIK TEL 06 70 03 71 71 Pour ISB















COMPTEUR DE VISITE

Vos Delegues Syndicaux CGT Wolseley


WFBM
: Bourcier Pascal tel 06 69 67 17 00 DS WFBM pascal.bourcier@wolseley.fr Guidez Mickael tel 06 26 09 81 72 RS WFBM : Castel Bernard tel 06 70 80 52 37 DS WFBM : Perruche Guy tel 06 87 74 75 59 DS BM : Thiebault Thierry DS WFBM: Kozik jlouis tel 06 70 03 71 71 DS BM jeanlouis.kozik@sfr.fr : Srowoda jpaul tel 06 13 82 91 63 DS



mercredi 30 mars 2011

Wolseley, a évoqué hier une « possible cession ».de BROSSETTE




 Brossette mise en vente ?


2800 Salariés inquiet DE LA SITUATION
Wolseley, a évoqué hier une « possible cession ».de BROSSETTE



Un projet de mise en vente a bien été annoncé, hier, aux cadres de l’entreprise lors d’une conférence téléphonique. Le même jour,Wolseley, qui avait racheté la société en 1992, a diffusé sur le site internet du « London Stock Exchange » (la Bourse de Londres) un communiqué comportant entre autres l’annonce suivante : « Le groupe examine actuellement un certain nombre d’options alternatives pour Brossette, parmi lesquelles figure une possible cession (optional disposal) ». « Wolseley lance un projet de cession qui peut aboutir ou ne pas aboutir : selon l’appétit du marché, le board (conseil d’administration du groupe Wolseley) décidera de vendre ou de garder Brossette dans son giron mais il ne s’agit que d’un projet ( SIC  )


Entre doutes et inquiétude !


Vous êtes nombreux à nous interpeller
 pour nous poser les questions suivantes :



 Qui va nous racheter et pourquoi ?
 Ou va l entreprise ?
Quelle consequences sur  L emploi ?
Le rachat entraînera t il inévitablement un plan social ?


Ces questions, nous les poserons à chacune de nos
réunions CE

La Direction ne nous apporte pour  l instant aucune réponse !!!


Nous attendons des reponses rapide aux interrogations légitime du personnel




les représentants syndicaux CGT Brossette
travaillent et travaillerons quotidiennement à la sauvegarde de vos intérêts 



 Thierry Leroy, directeur général estime que . Quelle que soit l'issue, maintien chez Wolseley ou reprise par un acquéreur, le développement sera assuré, et la vente par appartements serait d'ores et déjà exclue.




Nous n avons bien sur, pas la meme analyse de la situation et  resterons trés vigilants
sur la suite des évenements .


Une reunion "COMITE DE GROUPE " reunissant les syndicats du groupe et la direction WOLSELEY est prevue  le mecredi 6 Avril
 Nous esperons a cette occasion  que le sujet sera abordé



lundi 28 mars 2011

Main basse sur 300 millions d’euros à l’Arrco et à l’Agirc !

Dans le cadre des négociations engagées le 25 novembre dernier, la CGT avait proposé dès le 9 mars un projet d’accord permettant de revaloriser les pensions de 2,2 % (évolution du salaire moyen) tant à l’Arrco qu’à l’Agirc. Les autres acteurs de la négociation n’ont pas jugé utile de donner suite à cette proposition.




Faute d’un accord signé dans les délais, c’est normalement l’accord du 25 novembre 2010, signé par toutes les organisations syndicales (y compris la CGT) et patronales, qui aurait dû s’appliquer. Cet accord prévoyait notamment une revalorisation de la valeur du point sur la base de l’évolution des prix.



Les commissions techniques et administratives de l’Arrco et de l’Agirc avaient indiqué que cela correspondait à une majoration de 2,11 % des pensions au 1er avril 2011. Contre toute attente, les présidences de l’Arrco et de l’Agirc ont décidé de ne pas appliquer cette dernière disposition. Tous les retraités vont être privés de cette revalorisation, qui représente au bas mot plus de 300 millions d’euros, alors qu’il est annoncé par ailleurs de nouvelles hausses des prix.

C’est proprement scandaleux quand on sait que nombre de retraités connaissent de plus en plus de difficultés à joindre les deux bouts.

Faut-il relier cette décision au contenu de l’accord soumis à signature le 18 mars dernier ?

Cet accord porte en effet une moindre revalorisation des pensions pour l’Agirc (0,41 % au lieu de 2.11 % pour l’Arrco). L’application de cet accord particulièrement régressif aurait conduit, dans l’hypothèse d’une revalorisation de 2,11 % au 1er avril à l’Agirc, à une baisse de la pension Agirc au 1er juillet, associée à la récupération du trop versé, donc à une baisse conséquente de la pension… Visiblement, certains ne voulaient pas courir ce risque. Ils ont préféré prendre en otage la totalité des retraités (allocataires ARRCO et AGIRC) en les privant d’une revalorisation pourtant très attendue. En l’état, ils devront patienter jusqu’au 1er juillet pour percevoir un rattrapage au titre de la régularisation.

Négociations sur les retraites complémentaires

mercredi 23 mars 2011, 


Au terme de sept séances difficiles, les négociations sur les régimes de retraites complémentaires AGIRC et ARRCO se sont terminées vendredi 18 mars en fin de journée sur une proposition d’accord du Medef soumise aux organisations syndicales. La CGT a décidé de consulter ses organisations sur le contenu de ce texte et sur la démarche à conduire au cas où il serait adopté en l’état.
Ce texte :
aligne les mesures d’âge de la retraite sur celle du régime général qui est une mesure phare de la réforme Fillon contestée par toutes les organisations syndicales et par des millions de salariés qui ont manifesté en 2010.
Il perpétue et aggrave des mécanismes qui conduisent à une baisse du taux de remplacement du salaire d’activité par la pension de retraite.
Il écarte toute mesure sur les ressources des régimes, conditionnant ainsi l’équilibre financier à une réduction de la couverture sociale assurée par ces régimes.

mercredi 23 mars 2011

Offensive du Front national contre le syndicalisme

organisations de la CGT.




Cher(e)s camarades,

À circonstance exceptionnelle, démarche exceptionnelle, je m’adresse directement aux secrétaires généraux des organisations de la CGT suite à l’annonce par la direction d’un parti politique, le Front national, de son intention de porter plainte à l’encontre de la CGT au motif qu’un de ses candidats aux élections cantonales est suspendu dans l’attente d’autres décisions.
La direction du Front national revendique au travers de la tenue de ce futur procès d’en faire « un événement dans la vie politique et sociale française en faisant reconnaître le FN comme un parti politique comme les autres ». Pour eux « la liberté d’opinion est bafouée », « il faut déverrouiller l’étau syndical » et cela s’inscrit « dans la stratégie de Marine Le Pen de conquérir le champ social et le monde du travail » dixit P. Alliot, vice président du FN.
Naturellement, la CGT saura répondre devant tout tribunal de son bon droit. Les jurisprudences européenne et française sont suffisamment fournies pour qu’il n’y ait aucun doute sur l’issue juridique de cette affaire.
Ce n’est pas tant le terrain du droit qui motive le FN que la campagne que cette affaire peut alimenter.
Nous avons à faire face à une volonté délibérée d’instrumentalisation du combat syndical et donc de la CGT pour promouvoir les thèses du FN parmi les salariés.
Après que nous ayons mis en échec par voie de justice, dans les années 90, toutes les tentatives du FN de créer des pseudos syndicats qui n’étaient que des succursales de ce parti (FN-Police, FN-RATP …), nous avons également repoussé la tentative du FN de présenter ses candidats derrière la façade de la Confédération nationale des Travailleurs (CFNT) aux élections prud’homales de 2008.
Confronté à ses échecs successifs, le FN avait explicitement indiqué dès cette époque que sa stratégie consistait à s’infiltrer dans les organisations existantes. Nous savons qu’il y est parfois parvenu dans des sections syndicales d’autres confédérations peu regardantes.
Cet entrisme dans les syndicats a clairement pour objectif d’en faire des marchepieds au service d’une stratégie politique. C’est ce qu’il a réalisé dans le syndicat CGT des Territoriaux de Nilvange affilié à la fédération des Services publics et à l’union départementale de la Moselle. Comment comprendre le choix du FN de présenter aux élections cantonales un adhérent de fraiche date (4 mois) si ce n’est pour instrumentaliser sa première qualité de secrétaire général d’un syndicat CGT. Cette appartenance syndicale qui est historiquement une tare aux yeux de l’extrême droite compte tenu « de la philosophie marxiste de la CGT » devient subitement une qualité en période électorale.
Les deux organisations, union départementale et fédération concernées, travaillent en étroite relation pour faire face à la situation. Les membres de la Commission exécutive confédérale réunis le 1er mars ont apporté un soutien unanime aux procédures qu’elles ont engagées.
Nous avons également décidé d’élaborer un argumentaire détaillé pour les organisations qui reviendra sur la véritable nature du FN.
J’ai clairement indiqué lors de notre discussion qu’il revenait en particulier aux secrétaires généraux des organisations de la CGT de veiller au respect des valeurs fondamentales et des statuts de la CGT dans leur organisation.
Cela nécessite de revenir sur quelques principes :
la CGT est ouverte à tous les salariés quels que soient leurs statuts social et professionnel, leur nationalité, leurs opinions politiques, philosophiques et religieuses ;
la liberté de candidature aux élections politiques est elle aussi reconnue dés lors qu’elle s’exerce en respectant l’indépendance de l’organisation et que nul ne se réclame de son appartenance à la CGT pour des fins autres que l’action du syndicat.
C’est une règle de vie commune qui s’applique quelques soient les étiquettes et qui préserve ainsi l’unité des adhérents dans la CGT pendant et au-delà des campagnes électorales.
Ces principes rappelés, Il n’est cependant pas envisageable qu’au nom de la liberté d’opinion dans la CGT, la CGT puisse être représentée, à quelque niveau que ce soit, par des militants revendiquant par ailleurs publiquement leur adhésion au concept de « préférence nationale » qui est le socle du FN.
Ceci pour une raison simple mais oh combien essentielle : cela est contraire aux principes et aux valeurs fondamentales de la CGT inscrits dans ses statuts. La CGT « agit pour une société démocratique, libérée de l’exploitation capitaliste et des autres formes d’exploitation et de domination, contre les discriminations de toutes sortes, le racisme, la xénophobie, et toutes les exclusions » (statuts de la CGT).
Le FN, quoi qu’il en dise, ne peut pas être considéré comme un parti politique comme les autres, par la CGT comme par l’ensemble du mouvement syndical. Les positions du FN, en préconisant la préférence nationale sont même contraires aux principes républicains et aux textes internationaux, comme les tribunaux l’ont dit lors de jugements successifs.
Il est de notre responsabilité dans ce contexte de faire preuve d’une grande vigilance et d’une réactivité collective déterminée. C’est une exigence supérieure à toute autre considération, y compris la perte éventuelle de syndiqués, voire exceptionnellement la perte d’un syndicat.
On ne transige pas avec les valeurs fondatrices de la CGT. Les organisations syndicales qui, en Europe, n’ont pas su porter les principes d’entraide et de solidarité qui sont au fondement de la constitution des syndicats, sont aujourd’hui en prise aux pires difficultés, avec des partis d’extrême droite très influents, voire au sein de gouvernements.
L’histoire nous enseigne que les partis fascistes se sont souvent parés de vertus sociales pour accéder au pouvoir.
Face à ce risque majeur pour les salariés et la démocratie, il est de notre responsabilité d’éclairer les salariés par l’information et le débat sur la réalité des thèses et des positions du FN, sur le plan économique et social comme en matière de libertés publiques.
Même repeinte à “la couleur Marine” , l’exploitation par le FN des peurs et de la précarité sociale engendrée par les politiques en vigueur demeure la même et trouve sa source selon lui dans une cause principale : l’étranger. L’Immigré comme le Français qui n’est pas « de souche » sont ainsi présentés comme les responsables de tous les maux.
Cela a comme conséquence de détourner l’attention des véritables causes de l’exploitation dont les salariés, quelque soit leur origine, sont victimes et donc de contribuer à entretenir le système tant décrié.
D’ailleurs, régulièrement, les déclarations du FN ont dénoncé les mobilisations syndicales, ce fut encore le cas lors des manifestations pour défendre les retraites :
Marine Le Pen le 22 octobre 2010 : « Ensemble, gouvernement et syndicats jettent la France dans le chaos … Voilà deux semaines que la France s’installe dans le chaos, entre grève, manifestations et blocus … La tolérance zéro doit s’appliquer à tous les émeutiers. »
Bruno Gollnisch le 4 novembre 2010 : « le sabotage de l’économie française caractérise l’action des dirigeants de la CGT … Ces blocages frappent avant tout les salariés qui se rendent à leur travail, les entreprises et menacent l’emploi … La CGT doit être rendue pénalement responsable, ses dirigeants doivent en répondre ».
Face à l’offensive du Front national, soyons convaincus que l’opinion et le comportement de la CGT auront de l’influence chez les salariés.
Mettons la conviction nécessaire dans les formes de débat permettant la participation la plus large des syndiqués afin d’empêcher le FN d’instrumentaliser la CGT et de duper les salariés sur ses motivations véritables.
Autant que de besoin, la direction confédérale pourra vous apporter le soutien nécessaire dans vos initiatives.
Voilà, cher(e)s Camarades, les éléments d’information et d’appréciation que je tenais à vous apporter et qui permettront, je l’espère, de mobiliser par votre intermédiaire l’ensemble des directions syndicales pour la défense de nos valeurs communes.
Bien fraternellement et bon courage.

Bernard Thibault


secrétaire général de la CGT

lundi 21 mars 2011

Licenciement pour faute grave

La qualification de faute grave impose une rupture rapide du contrat !

L'employeur a en principe deux mois pour sanctionner un fait fautif (C. trav., art. L. 1332-4). 
Passé ce délai, les faits sont prescrits et ne peuvent plus être invoqués à l'appui d'une sanction disciplinaire


Mais lorsqu'il entend licencier un salarié pour faute grave, l'employeur doit lancer encore plus rapidement la procédure. La jurisprudence exige en effet que la procédure soit mise en oeuvre dans un délai restreint, et ce pour la simple et bonne raison que la faute grave est par définition celle qui rend impossible le maintien du salarié dans l'entreprise
Ainsi, un licenciement intervenu près de deux mois après les faits ne peut plus être fondé sur une faute grave (Cass. soc., 24 octobre 2000, n° 98-42.779). 

La faute grave étant celle qui rend impossible le maintien du salarié dans l'entreprise, la mise en oeuvre de la rupture du contrat de travail doit intervenir dans un délai restreint après que l'employeur a eu connaissance des faits allégués

Cass. soc., 6 octobre 2010, n°09-41.294

mercredi 16 mars 2011

La responsabilité des employeurs est engagée sur l’emploi des travailleurs handicapés

La Cgt WOLSELEY se battra partout où elle se trouve pour que les travailleurs handicapés puissent accéder au plein emploi durable.



A l’occasion de l’anniversaire de l’Agefiph, on ne peut que constater l’échec de la loi du 10 juillet 1987 :


  • Le taux d’emploi réel plafonne à moins de 3 % et la plupart des bénéficiaires sont des salariés usés par des conditions de travail qui se dégradent de plus en plus.





  • Beaucoup trop d’entreprises préfèrent remplir leur obligation par le versement d’une contribution à l’Agefiph, ce qui explique la prospérité de l’Agefiph.
    Le fonds est alimenté par les contributions des entreprises qui n’atteignent pas le quota : moins il y a de personnes handicapées dans les entreprises, plus l’Agefiph a d’argent.
    L’activité importante de cet organisme, les sommes considérables qu’il engage chaque année, ne permettent pas malgré tout de faire un bilan objectif de la loi et de son application peu probante.
    La Cgt pense qu’il serait temps pour faire réellement progresser l’emploi des personnes handicapées :


  • D’améliorer réellement les conditions et l’organisation du travail car, dans leur état actuel, elles fabriquent un nombre considérable de personnes handicapées et elles en empêchent beaucoup d’accéder à l’emploi.




  • De faire disparaître les pratiques discriminantes.



  • De reconstruire sur des financements de l’Etat (car les subventions de l’Agefiph, par nature, ne sont pas pérennes) des dispositifs de maintien et d’insertion dans l’emploi qui doivent être conventionnés et agréés par les services de l’état sur des missions définies par le Code du Travail.


  • D’engager un vrai programme de formation des demandeurs d’emploi handicapés qui souffrent d’un retard de qualification entravant leur accès à l’emploi.





  • La Cgt WOLSELEY  se battra partout où elle se trouve pour que les travailleurs handicapés puissent accéder au plein emploi durable.

    dimanche 6 mars 2011

    Un peu d humour facon MEDEF

    jeudi 3 mars 2011

    Les Délégués du Personnel

    Élus dans les entreprises de 11 salariés et plus, les délégués du personnel exercent les attributions que le Code du travail leur confie spécifiquement, et dans certains cas, assument les missions normalement dévolues au comité d’entreprise (CE), au comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) et au délégué syndical (DS).
    Comme tout représentant du personnel, le délégué du personnel doit disposer des moyens nécessaires à l’exercice de son mandat et bénéficie d’une protection particulière contre les mesures de licenciement.

    A savoir
    L’employeur est tenu de fournir aux délégués du personnel un formulaire à jour de la convention collective applicable dans l’entreprise.
    uelles sont les missions des délégués du personnel ?
    •  Représenter le personnel auprès de l’employeur et lui faire part de toute réclamation individuelle ou collective en matière d’application de la réglementation du travail (Code du travail, convention collective, salaires, durée du travail, hygiène et sécurité…).
      Les salariés permanents mais aussi extérieurs à l’entreprise ou intérimaires peuvent saisir les délégués du personnel de leurs réclamations.
    •  Être consultés, en l’absence de comité d’entreprise, sur les licenciements économiques, la durée du travail (heures supplémentaires, horaires individualisés), la formation professionnelle. Ils sont également consultés sur la fixation des congés payés.
      Les délégués du personnel peuvent également faire des suggestions sur l’organisation générale de l’entreprise.

      •  Être les interlocuteurs de l’inspecteur du travail qu’ils peuvent saisir de tout problème d’application du droit du travail et accompagner, s’ils le désirent, lors de ses visites dans l’entreprise.
      Si un délégué du personnel constate, notamment par l’intermédiaire d’un salarié, qu’il existe dans l’entreprise une atteinte injustifiée aux droits des personnes, à leur santé physique ou mentale, ou aux libertés individuelles, il en avise immédiatement l’employeur. Celui-ci procède ou fait procéder à une enquête. En cas de carence de l’employeur ou de divergence sur la réalité de cette atteinte, le salarié (ou le délégué si le salarié concerné averti par écrit ne s’y oppose pas) saisit le conseil de prud’hommes qui statue selon la procédure de référé. Le juge peut ordonner sous astreinte toutes mesures de nature à faire cesser cette atteinte.
      Quels sont les moyens des délégués du personnel ?

      Pour exercer leurs missions, la loi a reconnu aux délégués du personnel différents moyens :
      des réunions avec l’employeur. Au moins une fois par mois, l’employeur doit convoquer et recevoir les délégués qui peuvent se faire assister par un représentant syndical éventuellement extérieur à l’entreprise. Les délégués du personnel posent leurs questions par écrit 2 jours avant la réunion. L’employeur y répond lors de la réunion, puis par écrit dans un délai de 6 jours, sur un registre tenu à la disposition du personnel un jour ouvrable par quinzaine ;


      un crédit d’heures de délégation de 15 heures par mois dans les entreprises d’au moins 50 salariés, de 10 heures par mois dans les autres, pour chaque délégué titulaire (sauf circonstances exceptionnelles justifiant un dépassement). Les heures utilisées pour l’exercice du mandat sont considérées et payées comme temps de travail.

      Le temps passé en réunion avec l’employeur n’est pas décompté de ce crédit ;
      En cas d’absence du titulaire (maladie…), le délégué suppléant peut utiliser le crédit d’heures.
      •  un local et un panneau d’affichage sont mis à leur disposition dans l’établissement ;
      •  un exemplaire à jour de la convention collective leur est fourni par l’employeur ;
      •  l’accès à certains documents obligatoires, tels le registre du personnel, les registres de sécurité, les documents récapitulant la durée du travail, en cas d’intérim les contrats de mise à disposition des travailleurs temporaires… ;

         la liberté de déplacement :
        • dans l’entreprise pendant les heures de délégation ou en dehors des heures de travail. Les délégués du personnel peuvent circuler et prendre contact avec les salariés à leur poste de travail, à condition de ne pas créer de gêne importante ;
        • en dehors de l’entreprise, durant les heures de délégation.
        Les délégués du personnel n’ont pas à solliciter d’autorisation avant de quitter leur poste de travail.

    mardi 1 mars 2011

    Négociations ARRCO et AGIRC


    Compte rendu succinct de la réunion du 24 février 2011


    Une fois de plus, il est démontré que l'action syndicale, et plus particulièrement l'appel de la CGT de ce jour à des rassemblements devant les chambres patronales, modifie le cours des événements.
    Ce n'est pas un hasard si les organisations syndicales parties prenantes des négociations se sont montrées beaucoup plus vindicatives et convergentes lors de cette cinquième séance.
    Il y avait vraiment de quoi après la présentation par le Medef de sa position sur les cotisations et sur le rendement des régimes.


    Sans surprise, le Medef a rappelé sa farouche opposition à une augmentation des cotisations. Pour justifier de cette position, le représentant patronal a rejoué l'air du coût du travail trop élevé en France et des entreprises croulant sous les « charges » et autres prélèvements qui grèvent leur compétitivité.
    Se refusant obstinément à une augmentation pourtant indispensable des cotisations, le Medef a présenté avec beaucoup de précautions oratoires un scénario porteur de nouvelles baisses des pensions servies par les régimes complémentaires. Rappelons ici que le nombre de retraités est en constante augmentation et que faute d’augmentation des ressources des régimes, les pensions des retraités actuels et futurs sont appelées à baisser.



    La CGT a fait valoir qu’il était possible de financer les régimes complémentaires afin de garantir à chacun un niveau de vie équivalent à celui du temps de l’activité. Elle a rappelé que le niveau des dividendes distribués avait encore progressé de 13 % en 2010, en pleine période de crise, pour atteindre 250 milliards d’euros, soit plus que la totalité des dépenses de retraite en France, tous régimes confondus.



    Elle s’est insurgée contre la baisse du taux de remplacement du salaire d’activité par la pension de retraite. Ainsi, à l’Arrco, pour une carrière de 40 ans et un taux contractuel de cotisation de 6%, le taux de remplacement instantané est passé de 26,9 % en 1993 à 19,80 % en 2010, soit une baisse de 26,34 %. Sur la même période, à l’Agirc, le taux de remplacement a baissé de près de 30 %.

    Les autres organisations syndicales ont exprimé des positions très proches, considérant qu’on ne pouvait engager des discussions sur la base de ce blocage patronal sur les ressources. Elles ont, elles aussi, contesté un scénario qui verrait les salariés et les retraités de nouveau sacrifiés.

    Le Medef s’est retrouvé en difficulté devant ce front syndical très large. Il a dû renoncer à présenter de nouvelles remises en cause des droits familiaux et conjugaux. Pour mémoire, il avait demandé que soient chiffrées l’ouverture de la réversion à 60, voire 62 ans (au lieu de 55 ans à l’Arrco), ainsi qu’une baisse du taux de réversion de 60 à 54 % dans les 2 régimes.
    Après une suspension de séance, il a annoncé que les débats reprendraient le 9 mars avec un projet d’accord qui serait « remis sur table ».
    La mobilisation de ce jour a déjà eu un premier effet positif sur ces négociations. Il n’est pas trop tard pour informer les salariés et travailler à de nouvelles initiatives d’ici le 9 mars prochain.

    Pour rappel, les organisations de la CGT disposent de matériaux pour aller à la rencontre des salariés dans les entreprises : le tract confédéral, le diaporama, le hors série de la NVO « La bourse ou la vie » ainsi que ceux mis à disposition par l’Ugict.

    La prochaine réunion se tiendra le 9 mars prochain.



    La délégation CGT, conduite par Eric Aubin, était composée de Sylvie Durand, Anne Leloarer, Alain Drieu et Gérard Rodriguez

    Welcome everyone on the blog of french union CGT Wolseley

    After the multiple PES (social) that have decimated our workforce and working conditions that continues to deteriorate under the cover of the profitability of a pension fund
    The time for mobilization and proposals for improvement of our working conditions and renumeration is coming!

    No this is that all together we will get there!


    The CGT trade union that will defend your interests and grievances without fear direction.les elections are approaching and we need your support vote for the CGT with you we will forward your rights!

    It as become necessary to have a communication to employees of the group

    by creating this blog

    and another vision of the company WOLSELEY that your represantatives !!!








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