BIENVENUE A TOUS ET TOUTES










Bienvenue dans le blog du Syndicat d entreprise CGT WOLSELEY qui regroupe les enseignes suivante:
PBM
LES CHARPENTES FRANCAISE


LE PORT DES TROIS BOIS
Wolseley France c'est un CA de 2,8 milliards d'euros, 10 000 salariés et 800 points de vente.
Il nous a apparu necessaire d avoir une communication aupres des salaries du groupe
en creant ce blog
et une autre vision de l entreprise celle de vos representants Syndicaux:
Apres les multiples PSE ( plan social) qui ont decimès nos effectifs et les conditions de travail qui ne cesse de se degradèes sous le couvert de la rentabilitè d un fond de pension

Le temps de la mobilisation et des propositions d amelioration de nos conditions de travail et de renumeration est venue

Ce n est QUE TOUS ENSEMBLE que nous y arriverons!
La C.G.T est le syndicat qui défendra vos intérêts et vos revendications sans craindre la direction.les élections approchent et nous aurons besoin de votre soutien votez pour la CGT avec vous nous saurons faire avancer vos droits !!

Les seules batailles perdues d'avance sont celles que l'on ne mènent pas !


Le syndicalisme fait partie du patrimoine vivant de l’humanité et de la démocratie. Fait social devenu universel, il a d’abord émergé en Europe avec la révolution industrielle, et y est resté depuis profondément enraciné.

L’histoire plus que séculaire de la CGT s’inscrit dans cet ensemble. Née de la volonté des salariés de s’organiser collectivement et durablement pour défendre leurs intérêts face à l’oppression et à l’exploitation, pour conquérir des droits et les faire valoir, pour imaginer un monde plus juste et proposer des voies pour y parvenir, sont le coeur de son action syndicale.

Bâtie selon deux dimensions professionnelles et géographiques, la CGT s’est forgée et constituée au fil de l’histoire autour d’une conception de solidarité entre les salariés qui combine l’ancrage à l’entreprise et à son environnement territorial.























BOURCIER Pascal et son équipe

BOURCIER Pascal et son équipe
LES ELUS CGT DE l’UES Wolseley France Bois et Matériaux / PBM Développement . BOURCIER Pascal Coordinateur groupe CGT WOLSELEY ET BM et également membre élu de la commission évecutive fe la fédération C.G.T FNSCBA à Montreuil

Décisions stratégiques

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ADHESION AU SYNDICAT CGT WOLSELEY

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lundi 19 mars 2007

Comme plusieurs dizaines de milliers de salariés (es) qui l’ont fait, vous envisagez de rejoindre la CGT.
Quelles que soient vos motivations, vous exprimez ainsi la volonté de ne pas rester isolé (e), d’être acteur, actrice de votre avenir, de prendre en main vos affaires

PDF - 38.5 koBulletin d’adhésion à télécharger
La CGT vous invite à prendre votre place dans l’action et l’activité syndicale, à vous investir, à vous y épanouir, car la CGT ce n’est pas les " autres ", qu’ils soient responsables ou délégués, élus ou mandatés. La vraie force de la CGT, c’est l’action conjuguée et cohérente de ses 700 000 adhérents (es) pour améliorer la situation de toutes et tous.











ETRE SYNDIQUÉ(E) A LA CGT OUVRE DES DROITS :

Droit de participer et de décider

La CGT fait le choix de la démocratie. Elle décide de ses orientations avec les syndiqués (es).

Etre citoyen dans le syndicat est au cœur de la vie syndicale : donner son opinion, débattre et participer à la prise de décision, s’impliquer dans la vie syndicale, y exercer des responsabilités si on le souhaite.

Droit de se former

La formation syndicale est un droit pour tous les salariés et les privés d’emploi, qu’ils soient syndiqués ou non, sous réserve que la formation soit dispensée par une organisation syndicale représentative.

Chaque salarié a le droit de s’absenter 12 jours par an en formation syndicale. Toutefois le total des jours d’absence annuel dans une entreprise est limité (par exemple : 36 jours pour 50 salariés et 60 jours pour 100 salariés). La CGT revendique l’augmentation de ces droits.
Les modalités sont similaires dans les secteurs public et privé, même si elles se réfèrent à des bases législatives différentes (Code du travail pour le secteur privé, statuts pour les fonctionnaires ou les entreprises publiques).
La différence porte sur la couverture salariale de l’absence : il n’y a pas de perte de salaire dans le secteur public. Pour le privé, sauf en cas d’accord d’entreprise, la compensation est souvent très faible. La CGT revendique la prise en charge intégrale des salaires pour tous.

La CGT ambitionne la participation de tous les syndiqués à la formation syndicale dès leur adhésion.

La CGT propose plusieurs types et niveaux de formation, de caractère général ou spécifique, ouverts à tous les syndiqués, qu’ils aient ou non des responsabilités syndicales

Ces formations sont organisées, selon les cas, à différents niveaux : l’entreprise, local régional, national…
Pour en savoir plus : http://www.formationsyndicale.cgt.fr/

Droit à l’information

La CGT dispose d’une presse fédérale dont l’objectif est d’être utile à la réflexion de chacun (e) pour se forger son opinion, participer à l’échange collectif pour décider ensemble.
Ouverte sur le monde du travail, utile pour solidariser les intérêts de tous, construire les luttes qui unissent au plan local et national, européen et mondial.
L’Aplomb, les informations fédérales, La com. fédérale, La Nouvelle Vie ouvrière, hebdomadaire d’actualités, pour tous les syndiqués (es).
Options, bi-mensuel pour les ingénieurs, cadres, techniciens.
Retraite Construction et Vie Nouvelle pour les retraité(e)s.

POURQUOI UNE COTISATION SYNDICALE La cotisation syndicale versée régulièrement par le syndiqué matérialise son appartenance à la CGT et constitue un élément vital au financement de l’activité de toute la CGT, du syndicat qui mène l’action à l’entreprise jusqu’à la Confédération. Elle garantit son indépendance à l’égard du patronat et des pouvoirs publics.

De combien ?

La cotisation fixée statutairement à 1 % du salaire net est un principe d’égalité. Chaque adhérent cotise proportionnellement à ses revenus.

Pour une gestion pratique et régulière, la CGT, ses organisations pratiquent et encouragent le prélèvement automatique des cotisations syndicales.

CONTACT M BOURCIER OU M KOZIK

BOURCIER TEL 06 69 67 17 00 Pour PBM/ISB

KOZIK TEL 06 70 03 71 71 Pour ISB















COMPTEUR DE VISITE

Vos Delegues Syndicaux CGT Wolseley


WFBM
: Bourcier Pascal tel 06 69 67 17 00 DS WFBM pascal.bourcier@wolseley.fr Guidez Mickael tel 06 26 09 81 72 RS WFBM : Castel Bernard tel 06 70 80 52 37 DS WFBM : Perruche Guy tel 06 87 74 75 59 DS BM : Thiebault Thierry DS WFBM: Kozik jlouis tel 06 70 03 71 71 DS BM jeanlouis.kozik@sfr.fr : Srowoda jpaul tel 06 13 82 91 63 DS



lundi 31 décembre 2012

Votre intervention est indispensable


Le Medef s’obstine à exiger plus de flexibilité
Votre intervention est indispensable !




A la demande du gouvernement, Syndicats et patronat ont engagé une négociation nationale interprofessionnelle. Les conclusions, attendues pour la fin Décembre 2012, sont susceptibles d’être retranscrites dans une loi et donc un débat parlementaire au début de l’année 2013. Mais les dernières propositions du Medef sont toujours une véritable provocation. Chacun d’entre vous peut mesurer qu’elles conduisent à une impasse économique et sociale, les salariés toujours plus considérés comme variable d’ajustement des choix patronaux.
Après avoir touché 20 milliards d’aides publiques, le Medef en veut plus : licencier plus vite, plus facilement, moins cher et sans contrôle.
Les positions du Medef sont à ce point inacceptables que, pour l’instant, tous les syndicats les ont rejetées. La partie n’est cependant pas terminée, les négociations reprennent les 10 et 11 janvier 2013.

La CGT ne laissera pas faire, c’est votre avis qui doit compter dans cette négociation.
Face à l’urgence sociale nous proposons à la fois des mesures immédiates et d’autres de nature à transformer durablement le quotidien des salariés.
C’est une révolution dans le Code du Travail qui se prépare. La CGT vous informe et vous alerte. Prenez connaissance de ce qui vous menace :
Le contrat de projet : nouveau contrat précaire
Il existe déjà une multitude de contrats de travail qui permettent une extrême souplesse pour les employeurs et qui provoque une extrême précarité pour les salariés. (Temps partiel, CDD, contrats de chantier, saisonnier, intérimaire, aidé, intermittent, d’alternance,… bientôt contrat de génération et contrat d’avenir.)
Le Medef innove encore avec le contrat de projet : Votre employeur pourrait vous employer demain en CDI de projet qui n’a de CDI que le nom puisque vous pourriez être licencié dès la fin de la tâche confiée. Cela pouvant se produire à tout moment et sans l’application des droits liés à un licenciement économique. Vous n’auriez aucune indication précise sur la fin de votre contrat. Comment construire votre avenir, obtenir un logement ou un crédit bancaire face à une telle incertitude ?
La mobilité… forcée
Votre employeur pourrait vous muter sur un autre site de travail situé à 50 km ou augmenter votre temps de trajet de 45 minutes avec comme conséquences une forte amplitude de votre journée et des frais de transport accrus. En cas de refus de votre part, direction la porte ! Le chantage à l’emploi, l’arme pour déréglementer
Déjà aujourd’hui, au nom de la compétitivité et sous prétexte de crise, la plupart des entreprises, quelle que soit leur situation financière, exercent le chantage à l’emploi (gel des salaires, augmentation des cadences et des amplitudes de travail, recours aux contrats précaires…) mais elles sont obligées de respecter les clauses de votre contrat de travail.
Demain, le Medef veut se débarrasser des clauses individuelles du contrat de travail : dès lors qu’un accord collectif serait passé dans l’entreprise pour soi disant « préserver l’emploi », tout salarié serait contraint d’accepter une baisse de son salaire, une modulation du temps de travail, un changement d’affectation de son lieu de travail, une détérioration des conditions de travail…
Alors qu’aujourd’hui votre entreprise ne peut agir ainsi sans votre accord, demain en cas de refus vous seriez licencié pour motif économique mais sans reclassement et avec des indemnités minorées. Vous seriez en plus privé de votre droit de recours devant un juge !
Droit du travail : la Jungle contre l’État de droit !
…Et si on pouvait faire travailler gratuitement !
Aujourd’hui, vous avez 5 ans pour réclamer les salaires payés ou contester tout manquement de votre employeur. Le patronat veut ramener ce délai de prescription à 18 mois.
CE, CHSCT : des moyens d’intervention réduits
Aux yeux du Medef le comité d’entreprise et le CHSCT constituent une entrave à la liberté de gestion des employeurs. Le Medef veut donc réduire leurs prérogatives.
Plus de chômeurs moins d’indemnités
Aujourd’hui, moins d’un salarié sur deux est indemnisé par l’allocation chômage, les femmes, les jeunes ayant peu travaillé sont les plus pénalisés. C’est l’état, avec l’argent public, qui vient de plus en plus en aide aux chômeurs par l’attribution de diverses allocations : les entreprises licencient, la collectivité paie ! Le patronat veut bien revoir le mécanisme d’indemnisation des chômeurs… mais à coût constant. Autrement dit, ceux qui sont indemnisés devront accepter une diminution de leurs droits pour que d’autres en bénéficient.
Pour le patronat, c’est aux salariés de se débrouiller des conséquences de la crise !
Pour la CGT : C’est NON ! Face à lurgence sociale, à la précarité galopante, à lexplosion du chômage ; il faut des garanties nouvelles pour les salariés, des emplois stables et bien rémunérés, des droits nouveaux d’interventions sur la stratégie des entreprises, un parcours professionnel attractif et sécurisé, une protection sociale de haut niveau.

lundi 24 décembre 2012


LA CGT WOLSELEY RESEAU PRO,PANOFRANCE,CARDOR,BOIS DES TROIS PORTS,CERLAND,COVERPRO,CHARPENTES FRANCAISES,CDL,,POLE CONFORTIQUE,SAVARE,SINBPLA,SILVERWOOD,Vous souhaite un joyeux noël et une très bonne et heureuse année 2013


Elections TPE


Les salariés des TPE placent la Cgt très largement en tête

vendredi 21 décembre 2012
Avec un résultat de 29,54%, la Cgt arrive très largement en tête du premier scrutin de représentativité dans les très petites entreprises. Scrutin où 465 756 électeurs et électrices se sont exprimé-e-s malgré les innombrables obstacles.
La Cgt remercie les salarié-e-s qui ont porté leur choix sur la Cgt. Ce résultat vient après d’autres signes forts quant à la place majeure occupée par la Cgt dans le paysage social. La deuxième organisation syndicale recueille quant à elle 19,26% et la troisième organisation recueille 15,25%.
Le résultat obtenu donne encore plus de poids à ceux qui n’acceptent pas une régression sociale majeure dans la négociation sur l’emploi en cours.
Dans les conventions collectives et au niveau national interprofessionnel, ce résultat renforce la place de la Cgt. Il donne du poids aux exigences portées par les salarié-e-s des TPE et renforce leur volonté d’obtenir à l’avenir de véritables lieux de négociations avec des élu-e-s pour les représenter.
Au cours de plusieurs mois de campagne, la Cgt dans les territoires et avec ses organisations professionnelles a tissé de nombreux liens avec des milliers de salarié-e-s des TPE qui lui ont réservé un accueil très favorable.
La Cgt entend poursuivre cet effort au-delà de l’élection et créer les conditions pour que le syndicalisme et la négociation collective prennent toute leur place auprès de ces salarié-e-s.
Forts de ce résultat, les salarié-e-s peuvent compter sur la présence de la Cgt pour agir avec eux en faveur de nouvelles conquêtes sociales. Elle les appelle aussi à prendre toute leur place dans cette mobilisation en rejoignant massivement la Cgt.
Montreuil, le 21 décembre 2012

mercredi 19 décembre 2012

Il ne faudra pas compter sur la CGT pour plus de flexibilité"


0,3%. Ce sera l'augmentation du SMIC au 1er janvier, ce qui, en euros, correspond à une hausse de trois centimes de l'heure. Le gouvernement a donc décidé de ne pas accorder un coup de pouce supplémentaire après celui de juillet dernier de 2%. Autre sujet au cœur des préoccupations de Bernard Thibault, l'accord sur la réforme du marché de l'emploi en négociation en ce moment. Le leader de la CGT craint un accord privilégiant une trop grande flexibilité.

Bernard Thibault, en 2009 © Radio France - /N.C.
Deux sujets font réagir Bernard Thibault, encore secrétaire général de la CGT : l'augmentation de 0,3% du Smic et les négociations sur l'emploi que la CFDT et le Medef ont annoncé pouvoir signer ce jeudi. Du côté des salariés, on en appelle à plus de sécurité, une demande  prégnante en temps de crise. Mais en face, le patronat veut privilégier la flexibilité des contrats et des licenciements. Dans l'intérêt des travailleurs et de l'emploi plaide le Medef.
Sur le SMIC, Bernard Thibault rappelle la revendication de la CGT, "un SMIC à 1.700 brut c'est à dire 1.100 euros net par mois. C'est de plus en plus difficile pour les salariés à tel point que les associations caritatives en sont témoins. Ca frôle le ridicule. Est-ce qu'un gouvernement se doit d'annoncer des simili-hausses?" Et pour répondre aux déclarations de Michel Sapin de ce matin, le leader de la CGT affirme qu'il s'agit d'un "choix politique".
Un gouvernement à l'écoute des sirènes patronales?
Bernard Thibault revient sur la négociation entre les organisations syndicales et patronales qui a lieu depuis juillet dernier. Et c'est un Bernard Thibault menaçant qui refute certaines idées reçues : "Le patronat voudrait nous convaincre que les salariés coûtent trop chers. Dans tous les pays, nous coûterions trop chers. Même au Portugal, même en Roumanie... Cette affirmation est censée expliquer le niveau de chômage sans s'intéresser au niveau de profits que les actionnaires engrangent." 
"Sur le volet de la flexibilité, la feuille de route gouvernementale des négociations est cruciale. On parle d'un hypothétique accord (NDLR : jeudi selon la CFDT et le Medef) sans parler des contenus. On s'éloigne de la feuille de route fixée en juillet qui devait réduire la précarité faite aux travailleurs. On s'en éloigne pour se rapprocher de la revendication du patronat : il ne faudra pas compter sur la CGT pour accepter plus de flexibilité pour les salariés. C'est que qu'on explique depuis 25 ans, et on a déjà donné !"

samedi 15 décembre 2012


Négociation « sécurisation de l’emploi » : Nouveau texte … toujours l’impasse pour les salariés et l’emploi (CGT)



Alors que le chômage explose depuis dix-huit mois consécutifs, le Patronat cherche de nouvelles règles pour faciliter le licenciement. Il est certain que l’effet premier de ce projet d’accord serait d’envoyer nombre de salariés pointer à Pôle emploi.
Le 29 novembre au soir, le MEDEF a transmis aux organisations syndicales un texte de plus de 70 pages intitulé : « projet d’accord sur la sécurisation de l’emploi ».
En guise de sécurisation, le Patronat traduit dans le texte les déclarations de Laurence Parisot : « pas d’accord sans acceptation du principe de flexibilité ». Effectivement en matière de flexibilité ils « y vont fort » :
  • opération destruction du CDI en généralisant les contrats de projets et les contrats à durée indéterminée intermittents,
  • contournement du licenciement économique par la création de nouvelles procédures,
  • encouragement du chantage à l’emploi au travers de la généralisation des accords dits « compétitivité emploi »,
  • difficulté plus grande pour la réparation aux prud’hommes (12 mois au lieu de 5 ans pour réclamer des salaires, limitation des dommages et intérêts…),
  • possibilité d’un motif de licenciement imprécis,
  • obligation d’accepter un nouveau poste s’il est situé à moins de 50 km ou 1 h 30 de trajet…
En ce qui concerne les quelques sécurités envisagées, elles sont renvoyées à des négociations futures… Et le Patronat ne daigne pas mettre un euro de plus pour l’emploi et la formation alors que les entreprises vont toucher 20 milliards d’euros d’aides supplémentaires au travers du crédit d’impôt.
Ce projet oublie superbement :
  • la réponse aux urgences sociales,
  • l’exigence de droits nouveaux pour les représentants des salariés sur les stratégies d’entreprise,
  • les questions de mutualisation des droits pour les salariés des petites entreprises,
  • la modulation des cotisations chômage en fonction de la durée des contrats,
  • le droit suspensif sur les plans de licenciements et les plans de restructuration,
  • la construction de nouvelles solidarités entre branches et territoires et la nécessaire co-responsabilisation des entreprises…
La CGT appelle les salariés à se mobiliser nombreux le 13 décembre pour dire au MEDEF et aux employeurs : « la précarité, la flexibilité, chômage, les bas salaires : ça suffit !!! ».

Welcome everyone on the blog of french union CGT Wolseley

After the multiple PES (social) that have decimated our workforce and working conditions that continues to deteriorate under the cover of the profitability of a pension fund
The time for mobilization and proposals for improvement of our working conditions and renumeration is coming!

No this is that all together we will get there!


The CGT trade union that will defend your interests and grievances without fear direction.les elections are approaching and we need your support vote for the CGT with you we will forward your rights!

It as become necessary to have a communication to employees of the group

by creating this blog

and another vision of the company WOLSELEY that your represantatives !!!








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